De « pod », vous ne connaissez que le lecteur portatif de la marque à la pomme. L’hôtellerie aussi a sa mini révolution. Après la cabane dans les arbres, la roulotte, la yourte mongole, le lodge, la tente berbère, autant d’expressions décalées de l’hébergement traditionnel, voici le « pod », terme anglais que le français traduit par cosse, nacelle, capsule, en langage poétique, cocon pour abriter vos rêves. Laissons de côté l’hôtel capsule japonais, aussi romantique et classieux qu’un dîner dans un fast-food, qui n’a pas d’équivalent ailleurs dans le monde. L’hébergement est réduit à sa fonction primaire, dormir : une cellule sans fenêtre où il faut ramper pour atteindre la couche, une télé pour détourner l’attention, chaussures et bagages dans le couloir, vivement déconseillé aux claustrophobes. Intéressons-nous aux versions écolos du pod, celles qui vous font vivre une expérience insolite en pleine nature. The Whitepod suisse Les vrais campeurs, ceux qui aiment l’aventure et son côté rugueux, peu émus par la dureté du sol et la fraîcheur de la douche, et qui ont vu vingt fois « Into …